Le Messager du soir : WILLIAM MARRION BRANHAM

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07/17/24

LE MESSAGER DU SOIR
du 16 Janvier 1963 VGR
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Merci beaucoup. Que le Seigneur vous bénisse.

Vous pouvez vous asseoir.

2 Mon fils Ă©tait ici aujourd’hui, et il a dit : “Papa, j’aurais souhaitĂ© que nous ayons vu cette Ă©glise avant de commencer Ă  construire la nĂŽtre, c’est un trĂšs bel endroit.” Et il a parlĂ© de
 Il a dit : “Je n’ai pas encore rencontrĂ© le ministre, mais si c’est quelqu’un d’aussi gentil que sa femme, alors c’est certainement quelqu’un de gentil.” Donc, nous sommes heureux d’ĂȘtre ici.

3 Et je—j’attends avec impatience la—la rĂ©union de ce soir, que Dieu rĂ©pande Ses bĂ©nĂ©dictions sur nous et qu’Il nous aide.

4 Maintenant nous
 À peine entrĂ©, j’ai entendu FrĂšre Williams, je crois, qui mentionnait le fait qu’on serait au Ramada. Et j’imagine qu’on a dĂ©jĂ  dĂ» faire l’annonce, Ă  ce sujet. D’habitude, on se charge de tout ça avant que j’arrive. Et nous nous attendons vraiment Ă  passer des moments merveilleux Ă  la convention. Et moi, mon rĂŽle ici, c’est simplement de circuler un peu partout, rencontrer les frĂšres, ĂȘtre en communion avec les gens, et prier que Dieu nous stimule comme—comme il convient, et alors nous pourrons aller directement au Ramada, pour une glorieuse sĂ©rie de rĂ©unions. Et donc nous essayons de visiter le plus grand nombre d’églises possible, avant cela. Et nous passons des moments merveilleux. Nous passons certainement des moments merveilleux de communion fraternelle parmi nos frĂšres.

5 Et d’habitude, je
 Tout le monde sait que je ne suis pas un prĂ©dicateur extraordinaire, je ne suis qu’une sorte de roue de secours. Mais je—je
 Mon ministĂšre, c’est de prier pour les malades. Et je
 Nous avons eu des soirĂ©es tellement bondĂ©es, et tout, qu’on n’a pas assez de place pour cela. Et nous allons essayer si nous
quand nous serons dans un endroit oĂč ce sera possible, lĂ , de distribuer des cartes, de faire entrer les gens et prier pour eux. Mais d’avoir une seule soirĂ©e de rĂ©union Ă  la fois, ceux qu’on n’aurait pas fait passer ce soir-lĂ , on les enverrait lĂ , dans un autre endroit le soir suivant, et ensuite ailleurs dans un autre endroit; de sorte que je fais simplement un—un petit—un petit exposĂ© chaque soir pour les gens, et je fais de mon mieux pour que
pour l’honneur et la gloire de JĂ©sus-Christ, Celui que nous aimons et en Qui nous croyons tous, et que nous sommes en communion les uns avec les autres.

6 Je suppose que vous avez entendu parler de l’accident qui vient d’avoir lieu au coin de la rue, il y a quelques instants. Je ne sais pas si cet homme a Ă©tĂ© tuĂ©, ou quelle que soit cette personne, la voiture est passĂ©e lĂ . Nous nous sommes simplement arrĂȘtĂ©s pour dire un mot de priĂšre, il y a quelques instants. Environ deux pĂątĂ©s de maisons plus haut, quelqu’un a Ă©tĂ© percutĂ© de cĂŽtĂ© et a Ă©tĂ© projetĂ© plus loin dans la rue. On a recouvert une personne corpulente lĂ -bas. Et les agents de police Ă©taient lĂ , mais je ne crois pas que l’ambulance soit dĂ©jĂ  arrivĂ©e lĂ . Ils doivent
 S’il n’a pas Ă©tĂ© tuĂ©, il a certainement Ă©té  Il a Ă©tĂ© percutĂ© de ce cĂŽtĂ©-ci et il a Ă©tĂ© projetĂ© Ă  travers la portiĂšre de l’autre cĂŽtĂ©, donc ça a dĂ» ĂȘtre un coup violent. Vous savez, c’est


7 Nous devons servir Dieu chaque minute. Nous ne savons pas Ă  quel moment—nous ne savons pas Ă  quel moment ces choses pourraient arriver. Peut-ĂȘtre pensons-nous que ça ne nous arrivera pas Ă  nous, mais vous savez que c’est possible, vous savez. Eh bien, je crois que JĂ©sus a dit : “Tenez-vous prĂȘts”, car nous ne connaissons ni la minute ni l’heure Ă  laquelle nous pourrions ĂȘtre rappelĂ©s. Puis nous irons Ă  un endroit oĂč il n’y a pas d’accidents ni de difficultĂ©s. Nous sommes tellement heureux d’avoir la promesse d’un tel lieu.

8 Vous savez, la pensĂ©e mĂȘme, ce soir, de—de voir que nous aspirons Ă  tel un endroit, c’est bien la preuve qu’un tel endroit existe. Voyez? Et nous savons que tous les nĂ©gatifs, toutes les ombres, qu’il faut qu’il y ait quelque chose pour produire une ombre. Une ombre est un reflet. Si donc il y a une vie comme celle-ci, c’est la preuve que c’est une ombre, il y a alors une vraie vie quelque part qu’elle reflĂšte. Voyez? Vous remarquez un arbre, que c’est beau, un arbre. Et vous savez ce que c’est? C’est le type nĂ©gatif de, l’ombre, de l’Arbre de Vie qui est au Ciel.

9 Or, vous savez, quand Dieu est venu sur la terre, quand Il couvait la terre au commencement, et peut-ĂȘtre que la premiĂšre chose Ă  apparaĂźtre, c’était un—un tĂȘtard, comme les scientifiques cherchent Ă  le dire. La chose suivante, c’était peut-ĂȘtre quelque chose
 Je crois Ă  la vĂ©ritable Ă©volution chrĂ©tienne, mais je ne crois pas que tout provient d’une seule et mĂȘme cellule. Je crois que ça
 Dieu a crĂ©Ă© un tĂȘtard, et puis Il a crĂ©Ă© un poisson, ensuite Il a crĂ©Ă© quelque chose d’autre. Et alors
 Je crois Ă  l’évolution, pas par la mĂȘme cellule, mais une crĂ©ature diffĂ©rente, tout le temps.

    63-0116 - Le messager du soir
    Rév. William Marrion Branham

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