PRÉDICATION DE WILLIAM MARRION BRANHAM : Démonologie domaine Physique

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07/17/24

53-0608A - Démonologie, Domaine physique
Rév. William Marrion Branham
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Traduction :Voice of God Recordings (VGR)
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…l’aide du Seigneur, nous pourrions prendre la réunion en main d’un bout à l’autre, nous-mêmes. C’est pour cette raison que je suis content de la voir se prolonger un peu, précisément pour cette raison. Je crois que le Seigneur nous aidera à le faire. [L’assemblée dit : “Amen.” — N.D.É.] Maintenant, vous savez, il y a…

J’aime beaucoup mes organisateurs. J’ai des frères charmants, Bosworth, Baxter, Lindsay, Moore, tous, il y en a cinq, le baron von Blomberg. Ce sont vraiment des hommes très bien. Mais ce qu’il y a, c’est que quand un groupe d’hommes se réunissent, l’un va arriver avec quelque chose, l’autre avec autre chose. Parfois c’est contraire à ce que moi, je pense. Alors je—je—j’ai l’impression d’être vraiment libre maintenant. Nous pouvons simplement nous en donner à cœur joie, bien retrousser nos manches, foncer tête baissée, et manger. Je pense à ça, retrousser ses manches et s’en donner à—à cœur joie.

La nature a été ma première Bible. C’est par la nature que j’ai appris à connaître Dieu. Et j’aime pêcher. Comme j’aime pêcher! Est-ce que tu aimes pêcher, fiston? Si tu aimes pêcher, et que tu aimes ta mère, tu seras un brave garçon. Et même ma conversion n’a pas sorti tout ça de moi. Alors, un jour, j’étais dans les montagnes, absorbé dans ma pêche. Maintenant, je dis ceci pour ce petit garçon. Je pêchais, là-haut dans les montagnes… Et pour les autres petits enfants, bien sûr, assis un peu partout. Je pêchais la truite. Et, oh, c’est merveilleux, au printemps. Je m’en allais, comme ça, il y avait toujours une truite dans la fosse d’à côté, vous savez, comme ça. Et j’étais là à louer le Seigneur et à m’en donner à cœur joie, je poussais des cris. Parfois je laissais tomber ma ligne. Je crois à ça, pousser des cris. Amen. Bien sûr que j’y crois. Parce que je sais que quelque chose s’empare de moi. Et… [espace non enregistré sur la bande — N.D.É.]

2 Il y a beaucoup d’ours dans cette région-là, dans le New Hampshire. J’ai un petit campement là-bas, là où je pêche. J’avais un genre de petite tente montée là, un genre de petite tente individuelle où je m’étais installé. L’ours noir, il n’y a rien de plus malfaisant. Alors, une vieille maman ours et deux petits oursons étaient entrés dans ma tente, et quel saccage ils y avaient fait!

3 Maintenant, qu’est-ce que j’aurais dû faire à cet ours, d’après toi, petite fille au fond là-bas, aux cheveux roux, au fond là-bas? J’aurais vraiment dû m’en prendre à lui, n’est-ce pas?

4 Mais voici ce qu’elle avait fait. Elle était entrée, elle avait démoli ma tente et elle avait tout éparpillé, elle avait mangé toute la nourriture que j’avais là, elle se payait vraiment du bon temps. Alors, quand je suis arrivé, elle a détalé. Et elle a poussé des cris pour appeler son ourson, et un petit ourson est parti avec elle, en courant. Et l’autre ne voulait pas courir; il restait simplement assis là. Il me tournait le dos, comme ceci, et il faisait quelque chose. Et tout ce que j’avais à la main, c’est un genre de petite hache à main. J’avais coupé des sureaux autour, là-bas. Eh bien, elle s’est enfuie à une distance d’à peu près, oh, je pense, d’ici au poteau téléphonique qui est dehors, là, et elle s’est assise. Elle poussait des cris pour appeler cet ourson, et il ne prêtait pas attention à elle. Il restait assis là, simplement.

5 Je me disais : “Qu’est-ce qu’il fait, ce petit?” Je me suis rapproché un peu. J’avais peur, je ne voulais pas trop m’approcher, de peur qu’elle me donne un coup de griffe. Alors—alors, je—je ne voyais pas d’arbre, et je savais qu’elle pouvait grimper aussi. Alors, je ne voulais pas trop m’approcher d’elle, parce que je connais la nature de l’ours. Alors, je me suis rapproché juste un petit peu. Et savez-vous ce qui est arrivé?

6 Maintenant, moi j’aime les crêpes. Les garçons, combien d’entre vous aiment les crêpes? Oh! la la! Oh, je… Les vieux aussi. Je les ai vus lever la main. Nous aimons tous les crêpes, et moi j’en raffole, et j’aime verser du miel dessus. Comme je suis baptiste, vous savez, c’est ce qui nous garde alignés comme il faut, vous savez, c’est le miel, vous savez. Alors, et, écoutez, je ne les asperge pas, je les baptise vraiment. J’en verse vraiment dessus jusqu’à ce que ce soit très épais. Je ne me contente pas d’en asperger un peu ici et là. J’en verse vraiment dessus, qu’elles soient bien imbibées de miel.

7 Alors, vous savez, j’avais un seau de miel là-haut, un seau d’un demi-gallon [2 l] de miel. Et les ours sont très friands de miel. Alors ce petit ourson, il était entré là-dedans, il avait ôté le couvercle de ce seau de miel, et il était assis là, comme ceci, avec ce petit seau de miel sous le bras, comme ceci.
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Que Dieu vous bénisse 🙏🙏

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